Rien de tel qu’un peu de gymnastique au matin,
sous les yeux énamourés de son amante brune et mie Elena A. qui redouble, devant un tel spectacle, de subterfuges séducteurs, dans un cadre non moins…
… onirique (enfin, histoire de faire mousser l’instant quoi, car même si cette piscine est tout à fait plaisante dans le cadre d’un lotissement de haute voltige, on est loin d’un paradis artificiel sur terre) : la relâche a du bon en vacances, pour sûr.
Après cet en-cas, vamos à la playa (ah ! ah ! ah ! ah !).
Rapidement, Leonid J. et Dasha, après avoir rapidement fait trempette, se mettent à leur activité favorites sur la plage : le jeu de raquette. Certes, la plage est le lieu idéal pour la pratique de se genre de passe-temps à même de purger leur esprit à leurs adeptes, mais pas pour Michel M. qui, toujours dans sa quête du dépassement de sa jouissance d’être, sacrifie à certain rituel de lecture (lui qui en avait fini avec ça) afin de comprendre ce que d’autres ont pu penser (et l’écrire) sur la chose de l’être et de sa place dans le néant heu de savoir qui l’on est pour mieux le vivre… Heu de l’asservissement volontaires des uns et de la libre pensée des autres face à la mauvaises conscience de tous et tout ça. Bref, ça donne cela :
la classe, mmhm ?
Enfin, pour clore une journée aussi puissante en non-stress, rien de tel qu’un beau coucher de soleil sur un parking de grande surface.
Ah ! Les vacances michèlèmiennes, quelle extase de chaque instant, vraiment.
Youpie.