Outre Perros-Guirec et cette extraordinairement ironique dominante d’un bleu azur habituellement associé à la côte du même nom, et cela à perte d’horizon (et ce n’est pas le rose prétentieusement mis en avant par les autochtones afin de faire venir les touristes, qui trouveront toutefois en ces lieux matière à beaux paysages, comme le montrera le diaporama ci-dessous), une mini promenade au parc de Sceau (second diaporama) clôturera ce billet, définitivement aéré.
Mais quelques images fixes avant les animées, c’est pile poil ce qu’il faut aux lectrices et teurs de l’endroit pour leur permettre de prendre leur respiration en tout tranquillisme.C’est dimanche, le temps est frais et clair, la marée est haute…
En voyant cela, Michel M. s’est illico recouché : le soleil pointait à peine et c’était dimanche, faut pas exagérer quand même, merdalors.
Et puis, le désir fou de sortir de là afin de respirer un air ô combien assaini par une nuit fraîche fera se lever les deux parisiens commémorant leur troisième hiver de « vie commune » (« Week-End amoureux », en étranger).
Ils empruntent « Le chemin des douaniers » du coin, mais de jour cette fois-ci : il a en effet fait frais la nuit passé…
Mais face à ce spectacle, quel poids peuvent bien avoir ces menus frimas.
Tout au long du chemin, ce ne seront que des scènes plus épiques les unes que les autres.
Blocs de granit éternels…
… Pour deux êtres rêvant d’éternité.
Désormais, il lui faut s’enquiller le montage de deux diaporamas à l’auteur : l’attente des émules michèlèmiennes devrait en valoir ses deux chandelles, foi d’esthète vêtu d’azur.
A suivre.